Directeur Général de Virtualiz, Angers
J’étais dessinateur dans le bâtiment, avec un background de 10 ans dans le BTP sur différents postes comme conducteur de travaux, métreur, assistant de direction. Puis, par la suite, je me suis lancé en auto-entrepreneur pour monter ma boîte
Pouvez-vous parler de votre activité en quelques mots ?
Je fais partie d'une agence moderne et passionnée explorant les nouvelles technologies telles que la réalité virtuelle, la réalité augmentée, la 3D et la 360° pour proposer des solutions et des moyens de communication innovants à ses clients. Une équipe de passionnés est présente pour vous accompagner et superviser vos projets de A à Z.
Quel est votre parcours professionnel ?
J’étais dessinateur dans le bâtiment, avec un background de 10 ans dans le BTP sur différents postes comme conducteur de travaux, métreur, assistant de direction. Puis, par la suite, je me suis lancé en auto-entrepreneur pour monter ma boîte. Aujourd’hui, nous sommes 4 salariés dans l’entreprise.
Pourquoi avez-vous décidé de fonder Virtualyz ?
J'ai eu une vision, développer l’innovation en concentrant nos efforts sur l’évolution et la mise en place de nouvelles possibilités au sein des technologies que nous maîtrisons. Dans un objectif d’évolution constante, nous gardons toujours un œil sur les nouvelles méthodes de communication émergentes pour en comprendre les bénéfices, mais aussi les limites.
Quels sont vos domaines de spécialité ?
Aucun et tous, on travaille pour de l’industrie, des écoles, du tourisme, du médical. On se spécialise suivant le besoin du client. Aujourd’hui, nous avons sorti une marque qui s’appelle Ervirtuel qui se spécialise sur l’impact environnemental en proposant un simulateur 3D en temps réel.
Quel est votre projet qui vous a le plus marqué ?
Le travail qui m'a le plus marqué est celui que nous avons fait pour Terra Botanica.
Avez-vous une anecdote à raconter ?
Lors d’une présentation client, je me suis retrouvé à présenter une démo VR avec mon alternant. C’est une expérience qui présente l’entreprise avec les différents postes qu’occupent les salariés. Pendant une séquence, je me retrouve avec une vidéo de mon alternant en short dans le salon qui teste la caméra entre 2 montages qu’il avait intégré sans le vouloir. Heureusement, le client l’a très bien pris, et j’ai appris à bien relire l’ensemble du projet avant une présentation.
Avez-vous des conseils à donner à des jeunes qui souhaitent se former dans le domaine de la réalité virtuelle ?
C’est un métier de passion et de niche. Il faut être polyvalent pour répondre à pas mal de sujet et être curieux pour s’approprier les besoins du client. Ne pas hésiter à corriger le client sur le choix de la technologie à déployer. Le dernier casque à la mode n’est pas forcément le plus adapté.